Jour 9 (30 mai 2015): Dijon

Je profite de ma visite de Dijon (ville superbe, d'ailleurs) pour faire un saut dans un cybercafé et réduire les photos que j'aimerais placer sur ce blog. Je m'en occuperai ce soir, n'oubliez pas d'aller voir (à partir du 3è jour).

Und hier ist das Zitat von Heinrich Heine, auf das ich vorgestern angespielt habe (dieses blöde Blog akzeptiert bloß kein Copy-Paste von meinem Tablet aus):

"Seid ruhig, ich werde den Rhein nimmermehr den Franzosen abtreten, schon aus dem ganz einfachen Grunde: weil mir der Rhein gehört. Ja, mir gehört er, durch unveräußerliches Geburtsrecht, ich bin des freien Rheins noch weit freierer Sohn, an seinem Ufer stand meine Wiege, und ich sehe gar nicht ein, warum der Rhein irgendeinem andern gehören soll als den Landeskindern."

Schön, nicht?

Bis heute Abend!

Heinrich Heine écrit aux patriotes allemands, qui l'accusent d'être un ami des Français (c'est à dire des envahisseurs napoléoniens): "Soyez rassurés, je ne céderai jamais le Rhin aux Français, ne fût-ce que pour cette simple raison: parce que le Rhin m'appartient. Oui, à moi, par l'imprescriptible droit de la naissance, je suis, du Rhin libre, le fils encore bien plus libre, sur sa rive se trouvait mon berceau, et je ne vois absolument pas pourquoi le Rhin devrait appartenir à quiconque sinon aux enfants du pays (rhénan)."

Mais, du Rhin et de la Meuse, revenons un peu plus au sud, à Dijon.

La ville est vraiment très jolie. Tout le centre de la ville est protégé, et ce n'est pas étonnant, car architecturalement parlant, on pourrait se croire au XVIIIè siècle, voire en des temps plus reculés encore.

J'ai donc passé un après-midi calme et reposant dans une ville bien agréable.